Hypotheque – Chatbot Dialo https://demoaliquando.com/en Thu, 08 May 2025 10:39:22 +0000 en-US hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.8.3 5 éléments à considérer avant d’acheter un condo sur plan https://demoaliquando.com/en/aliquando/5-elements-a-considerer-avant-dacheter-un-condo-sur-plan%ef%bf%bc/ Mon, 16 Sep 2024 14:16:08 +0000 https://blog.source.immo/?p=530

L’idée d’acheter un condo qui n’a pas encore été construit – c’est-à-dire un condo sur plan – vous a complètement séduit? Parcourez cet article pour découvrir 5 éléments essentiels à connaître, allant du contrat préliminaire jusqu’à la signature chez le notaire, avant de plonger dans l’aventure. 1. Le contrat préliminaire En ayant l’intention d’habiter le condo sur plan que vous achèterez, vous aurez l’obligation d’établir un contrat préliminaire avec le promoteur ou l’entrepreneur responsable du projet. Très semblable à une offre d’achat, celui-ci vous engage à acheter le condo sous certaines conditions, tout en vous offrant diverses protections. À noter que la signature du contrat préliminaire n’est pas obligatoire si vous achetez le condo dans le but de le louer à une tierce partie. 2. Les clauses obligatoires Règle générale, le contrat préliminaire contient les mêmes clauses qu’une offre d’achat, mais comporte certaines obligations supplémentaires. Droit ou faculté de dédit Le droit ou la faculté de dédit représente un délai durant lequel vous pouvez choisir de ne plus acheter le condo sur plan en vous rétractant. Celui-ci doit être d’au moins dix jours après la réception de la note d’information. Si vous utilisez votre droit de dédit, la loi permet néanmoins au promoteur d’exiger le paiement d’une indemnité ne pouvant excéder 0,5 % du prix de vente convenu. Remboursement de l’acompte Vous aurez probablement à verser un acompte au moment de la signature du contrat préliminaire. Si c’est le cas, la loi prévoit l’obligation pour le promoteur de vous rembourser ce montant si le condo n’est pas prêt à la date fixée dans le contrat préliminaire. Taxes Afin d’éviter les mauvaises surprises, assurez-vous que le contrat préliminaire indique si le prix du condo sur plan inclut ou non les taxes à payer, telles que la TPS et la TVQ. 3. Les clauses optionnelles Voici quelques exemples de clauses pouvant être ajoutées, modifiées ou retirées du contrat préliminaire, d’un commun accord avec le promoteur ou l’entrepreneur. Protection des acomptes Depuis le 1er janvier 2020, les acomptes ne peuvent être versés directement au promoteur « sans autre démarche », ce qui signifie qu’ils sont protégés par un plan de garantie, une assurance, un cautionnement ou un dépôt dans un compte en fidéicommis. Bref, un promoteur ou un entrepreneur ne peut exiger que des sommes lui soient versées directement. Protection contre les hypothèques légales L’hypothèque légale permet à toute personne qui a été embauchée pour la construction du condo de le prendre en garantie advenant le cas où le promoteur ou l’entrepreneur ne la paierait pas pour son travail. Un délai de 30 jours maximal est accordé pour publier une hypothèque légale sur votre future propriété. Afin d’être protégé de cette éventualité, vous pouvez demander l’ajout d’une clause afin que le notaire conserve une partie de l’argent devant être remis au promoteur ou à l’entrepreneur jusqu’à 30 jours après la fin des travaux. Vous pouvez aussi exiger que le promoteur obtienne une assurance-titres. Choix du notaire Même s’il est fréquent qu’un promoteur veuille confier l'ensemble d'un projet au même notaire, le choix final revient à l’acheteur. Si vous souhaitez désigner le notaire qui s’occupera de l’acte notarié, vous devrez spécifier son nom dans le contrat préliminaire. 4. La note d’information Le promoteur ou l’entrepreneur a l’obligation d’accompagner le contrat préliminaire d’une note d’information incluant notamment :
  • Le nom des architectes, des ingénieurs, des promoteurs et des constructeurs
  • Le plan de l’ensemble du projet et un résumé des travaux prévus
  • Un budget prévisionnel qui mentionne le détail des frais de condo
  • La déclaration de copropriété et du règlement de l’immeuble
En tant qu’acheteur, vous avez la possibilité de revenir sur votre décision tant que vous n’avez pas reçu cette note. D’ailleurs, le délai de dix jours applicable pour le droit de dédit ne commence à courir qu’après la remise de la note d’information. 5. Les mauvaises surprises à éviter Lors de la signature du contrat préliminaire, portez également une attention particulière à la superficie promise, ainsi qu’au délai de livraison qui peuvent varier en raison des nombreux imprévus durant la construction. Superficie habitable Bien souvent, la superficie d’un condo sur plan ne sera pas la même que la superficie livrée. Selon Me Ghislain Raymond, avocat au cabinet De Grandpré Joli-Cœur : « Il n’est pas rare de voir des différences de superficie de 8 à 12 %, un barème acceptable selon le calcul des dimensions brutes et les modifications qu’on a dû effectuer par obligation. » Cet écart est dû au fait que la superficie des plans architecturaux est approximative, comparativement à celle qui sera établie par l’arpenteur-géomètre. De fait, la superficie indiquée sur les plans est généralement brute, c’est-à-dire qu’elle est calculée à partir des murs extérieurs et non des cloisons intérieures. Résultat? Vous pourriez perdre de précieux centimètres. Délais de livraison Le contrat préliminaire protège souvent le promoteur ou l’entrepreneur en lui enlevant toute responsabilité advenant un retard de livraison, si celui-ci résulte d’une force majeure. Il est donc recommandé de prêter attention à cette clause afin d’éviter de devoir payer des frais d’entreposage et d’hébergement imprévus. L’achat d’un condo sur plan peut s’avérer particulièrement intéressant si vous souhaitez avoir une propriété neuve et entièrement personnalisée. En cas de doute sur le promoteur ou le constructeur, vous pouvez effectuer diverses vérifications auprès de la Société québécoise d’information juridique (SOQUIJ), de l’Office de la protection du consommateur et de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). Finalement, n’hésitez pas à poser toutes vos questions au promoteur, à l’entrepreneur ou à un notaire afin de bien comprendre vos obligations et ainsi être protégé contre les imprévus qui pourraient survenir en cours de route.]]>

L’idée d’acheter un condo qui n’a pas encore été construit – c’est-à-dire un condo sur plan – vous a complètement séduit? Parcourez cet article pour découvrir 5 éléments essentiels à connaître, allant du contrat préliminaire jusqu’à la signature chez le notaire, avant de plonger dans l’aventure. 1. Le contrat préliminaire En ayant l’intention d’habiter le condo sur plan que vous achèterez, vous aurez l’obligation d’établir un contrat préliminaire avec le promoteur ou l’entrepreneur responsable du projet. Très semblable à une offre d’achat, celui-ci vous engage à acheter le condo sous certaines conditions, tout en vous offrant diverses protections. À noter que la signature du contrat préliminaire n’est pas obligatoire si vous achetez le condo dans le but de le louer à une tierce partie. 2. Les clauses obligatoires Règle générale, le contrat préliminaire contient les mêmes clauses qu’une offre d’achat, mais comporte certaines obligations supplémentaires. Droit ou faculté de dédit Le droit ou la faculté de dédit représente un délai durant lequel vous pouvez choisir de ne plus acheter le condo sur plan en vous rétractant. Celui-ci doit être d’au moins dix jours après la réception de la note d’information. Si vous utilisez votre droit de dédit, la loi permet néanmoins au promoteur d’exiger le paiement d’une indemnité ne pouvant excéder 0,5 % du prix de vente convenu. Remboursement de l’acompte Vous aurez probablement à verser un acompte au moment de la signature du contrat préliminaire. Si c’est le cas, la loi prévoit l’obligation pour le promoteur de vous rembourser ce montant si le condo n’est pas prêt à la date fixée dans le contrat préliminaire. Taxes Afin d’éviter les mauvaises surprises, assurez-vous que le contrat préliminaire indique si le prix du condo sur plan inclut ou non les taxes à payer, telles que la TPS et la TVQ. 3. Les clauses optionnelles Voici quelques exemples de clauses pouvant être ajoutées, modifiées ou retirées du contrat préliminaire, d’un commun accord avec le promoteur ou l’entrepreneur. Protection des acomptes Depuis le 1er janvier 2020, les acomptes ne peuvent être versés directement au promoteur « sans autre démarche », ce qui signifie qu’ils sont protégés par un plan de garantie, une assurance, un cautionnement ou un dépôt dans un compte en fidéicommis. Bref, un promoteur ou un entrepreneur ne peut exiger que des sommes lui soient versées directement. Protection contre les hypothèques légales L’hypothèque légale permet à toute personne qui a été embauchée pour la construction du condo de le prendre en garantie advenant le cas où le promoteur ou l’entrepreneur ne la paierait pas pour son travail. Un délai de 30 jours maximal est accordé pour publier une hypothèque légale sur votre future propriété. Afin d’être protégé de cette éventualité, vous pouvez demander l’ajout d’une clause afin que le notaire conserve une partie de l’argent devant être remis au promoteur ou à l’entrepreneur jusqu’à 30 jours après la fin des travaux. Vous pouvez aussi exiger que le promoteur obtienne une assurance-titres. Choix du notaire Même s’il est fréquent qu’un promoteur veuille confier l'ensemble d'un projet au même notaire, le choix final revient à l’acheteur. Si vous souhaitez désigner le notaire qui s’occupera de l’acte notarié, vous devrez spécifier son nom dans le contrat préliminaire. 4. La note d’information Le promoteur ou l’entrepreneur a l’obligation d’accompagner le contrat préliminaire d’une note d’information incluant notamment :
  • Le nom des architectes, des ingénieurs, des promoteurs et des constructeurs
  • Le plan de l’ensemble du projet et un résumé des travaux prévus
  • Un budget prévisionnel qui mentionne le détail des frais de condo
  • La déclaration de copropriété et du règlement de l’immeuble
En tant qu’acheteur, vous avez la possibilité de revenir sur votre décision tant que vous n’avez pas reçu cette note. D’ailleurs, le délai de dix jours applicable pour le droit de dédit ne commence à courir qu’après la remise de la note d’information. 5. Les mauvaises surprises à éviter Lors de la signature du contrat préliminaire, portez également une attention particulière à la superficie promise, ainsi qu’au délai de livraison qui peuvent varier en raison des nombreux imprévus durant la construction. Superficie habitable Bien souvent, la superficie d’un condo sur plan ne sera pas la même que la superficie livrée. Selon Me Ghislain Raymond, avocat au cabinet De Grandpré Joli-Cœur : « Il n’est pas rare de voir des différences de superficie de 8 à 12 %, un barème acceptable selon le calcul des dimensions brutes et les modifications qu’on a dû effectuer par obligation. » Cet écart est dû au fait que la superficie des plans architecturaux est approximative, comparativement à celle qui sera établie par l’arpenteur-géomètre. De fait, la superficie indiquée sur les plans est généralement brute, c’est-à-dire qu’elle est calculée à partir des murs extérieurs et non des cloisons intérieures. Résultat? Vous pourriez perdre de précieux centimètres. Délais de livraison Le contrat préliminaire protège souvent le promoteur ou l’entrepreneur en lui enlevant toute responsabilité advenant un retard de livraison, si celui-ci résulte d’une force majeure. Il est donc recommandé de prêter attention à cette clause afin d’éviter de devoir payer des frais d’entreposage et d’hébergement imprévus. L’achat d’un condo sur plan peut s’avérer particulièrement intéressant si vous souhaitez avoir une propriété neuve et entièrement personnalisée. En cas de doute sur le promoteur ou le constructeur, vous pouvez effectuer diverses vérifications auprès de la Société québécoise d’information juridique (SOQUIJ), de l’Office de la protection du consommateur et de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). Finalement, n’hésitez pas à poser toutes vos questions au promoteur, à l’entrepreneur ou à un notaire afin de bien comprendre vos obligations et ainsi être protégé contre les imprévus qui pourraient survenir en cours de route.]]>
Quoi faire avec l’hypothèque lors d’un divorce ou d’une séparation ? https://demoaliquando.com/en/stratego/quoi-faire-avec-lhypotheque-lors-dun-divorce-ou-dune-separation/ Tue, 29 Nov 2022 16:00:51 +0000 https://blog.source.immo/?p=555

Quoi faire avec l’hypothèque lors d’un divorce ou d’une séparation ?

Une séparation entre conjoints de fait ou un divorce apporte un lot important de décisions financières et légales. Parmi celles-ci, le prêt hypothécaire soulève bien des interrogations. Vous devez faire un choix qui peut être déchirant : vendre ou garder votre résidence familiale. Voici les deux options habituelles qui s’offrent à vous. 1. Racheter la part de votre ex ou lui vendre la vôtre. Si l’un de vous souhaite conserver le domicile familial, il peut racheter la part de l’autre. Le calcul pour déterminer le montant de la transaction se fait à partir de la valeur nette de la propriété, soit la valeur marchande moins les dettes qui lui sont associées, comme l’hypothèque. Ensuite, le montant à verser se base sur le pourcentage de la part du conjoint qui cède la propriété. Le nouveau propriétaire unique doit se qualifier seul auprès de la banque pour obtenir un prêt hypothécaire et couvrir les dépenses relatives à l’entretien de la maison. 2. Vendre la maison Si aucun de vous ne souhaite conserver la demeure, vous pouvez la vendre. Lorsque la transaction sera finalisée, l’équité réalisée sur la vente (le prix d’achat moins les dettes associées) sera répartie entre les deux copropriétaires au prorata des parts identifiées dans l’acte notarié. Prévoir le pire avant d’acheter une propriété Bien que ce ne soit pas une idée très romantique, vous devez anticiper les conséquences d’un divorce ou d’une séparation avant d’acheter une résidence familiale avec votre conjoint. Pour éviter les complications potentielles, veillez à ce que la part de chaque propriétaire soit clairement définie dans l’acte notarié. Cette information a un impact direct sur le partage de l’équité de la maison lors de la vente ou la valeur de rachat des parts d’un des conjoints. Des spécificités relatives au partage des biens peuvent s’appliquer pour les couples mariés. La bonne entente, nécessaire tout au long du processus Une bonne entente entre les ex est souhaitée tout au long du processus de vente ou de rachats des parts de la maison. En effet, vous devez continuer d’assumer plusieurs dépenses communes le temps que le titre de propriété soit officiellement transféré. Vous pensez vendre votre maison suite à votre séparation? Faites affaire avec un courtier immobilier. Il s’occupera des aspects légaux de la vente en plus de vous accompagner tout au long du processus. Vous pensez racheter les parts de votre ex? Consultez votre courtier hypothécaire pour en savoir plus sur les démarches de transfert des parts et pour connaitre vos options afin de contracter un nouveau prêt hypothécaire.]]>

Quoi faire avec l’hypothèque lors d’un divorce ou d’une séparation ?

Une séparation entre conjoints de fait ou un divorce apporte un lot important de décisions financières et légales. Parmi celles-ci, le prêt hypothécaire soulève bien des interrogations. Vous devez faire un choix qui peut être déchirant : vendre ou garder votre résidence familiale. Voici les deux options habituelles qui s’offrent à vous. 1. Racheter la part de votre ex ou lui vendre la vôtre. Si l’un de vous souhaite conserver le domicile familial, il peut racheter la part de l’autre. Le calcul pour déterminer le montant de la transaction se fait à partir de la valeur nette de la propriété, soit la valeur marchande moins les dettes qui lui sont associées, comme l’hypothèque. Ensuite, le montant à verser se base sur le pourcentage de la part du conjoint qui cède la propriété. Le nouveau propriétaire unique doit se qualifier seul auprès de la banque pour obtenir un prêt hypothécaire et couvrir les dépenses relatives à l’entretien de la maison. 2. Vendre la maison Si aucun de vous ne souhaite conserver la demeure, vous pouvez la vendre. Lorsque la transaction sera finalisée, l’équité réalisée sur la vente (le prix d’achat moins les dettes associées) sera répartie entre les deux copropriétaires au prorata des parts identifiées dans l’acte notarié. Prévoir le pire avant d’acheter une propriété Bien que ce ne soit pas une idée très romantique, vous devez anticiper les conséquences d’un divorce ou d’une séparation avant d’acheter une résidence familiale avec votre conjoint. Pour éviter les complications potentielles, veillez à ce que la part de chaque propriétaire soit clairement définie dans l’acte notarié. Cette information a un impact direct sur le partage de l’équité de la maison lors de la vente ou la valeur de rachat des parts d’un des conjoints. Des spécificités relatives au partage des biens peuvent s’appliquer pour les couples mariés. La bonne entente, nécessaire tout au long du processus Une bonne entente entre les ex est souhaitée tout au long du processus de vente ou de rachats des parts de la maison. En effet, vous devez continuer d’assumer plusieurs dépenses communes le temps que le titre de propriété soit officiellement transféré. Vous pensez vendre votre maison suite à votre séparation? Faites affaire avec un courtier immobilier. Il s’occupera des aspects légaux de la vente en plus de vous accompagner tout au long du processus. Vous pensez racheter les parts de votre ex? Consultez votre courtier hypothécaire pour en savoir plus sur les démarches de transfert des parts et pour connaitre vos options afin de contracter un nouveau prêt hypothécaire.]]>
Est-ce avantageux de rembourser son hypothèque rapidement ?  https://demoaliquando.com/en/stratego/rembourser-hypotheque-rapidement/ Mon, 03 Oct 2022 14:39:53 +0000 https://blog.source.immo/?p=534

Est-ce avantageux de rembourser son hypothèque rapidement ?

Le prêt hypothécaire est un engagement financier à long terme, souvent le plus important d’une vie ! Habituellement, le montant est amorti sur une période de 25 ans. Ce faisant, les emprunteurs payent beaucoup d’intérêts, surtout au cours des premières années. Ainsi, plusieurs personnes soucieuses de diminuer le montant payé en intérêts veulent rembourser plus rapidement leur hypothèque. Certains propriétaires profitent aussi d’une entrée d’argent supplémentaire pour accélérer les paiements. Mais, est-ce toujours avantageux de rembourser votre hypothèque plus rapidement que prévu ? Comme plusieurs questions relatives à l’immobilier, la réponse dépend de votre situation personnelle. Voici quelques éléments à prendre en considération avant d’opter pour le remboursement anticipé de votre prêt hypothécaire. Qu’est-ce que le remboursement anticipé d’une hypothèque ? Lorsqu’un emprunteur rembourse son hypothèque plus rapidement que le terme prévu, en totalité ou en partie, on parle de remboursement anticipé. Habituellement, les institutions financières imposent alors une pénalité aux emprunteurs, qui peut coûter plusieurs milliers de dollars. Il s’agit en fait d’une compensation pour la perte d’intérêts. Les pénalités peuvent s’appliquer pour plusieurs scénarios, notamment lors de paiements plus élevés que ceux prévus à l’entente et de la résiliation du contrat ou de son transfert vers une autre institution financière. Vous payerez également une pénalité si vous remboursez en totalité votre solde hypothécaire avant la fin du terme, par exemple lors de la vente de votre propriété. Par contre, votre contrat pourrait comprendre un privilège pour remboursement anticipé, c’est-à-dire la possibilité d’augmenter votre versement périodique ou de faire un paiement additionnel unique d’un montant maximal prédéterminé. Ces options vous permettent de réduire la durée de votre prêt hypothécaire et d’économiser une partie des intérêts, pour autant que vous respectiez les limites fixées à votre contrat. Comment rembourser plus rapidement votre hypothèque sans pénalité ? Le meilleur conseil pour rembourser votre hypothèque plus vite est d’augmenter la fréquence des versements. Passer d’un paiement mensuel à un paiement hebdomadaire ou bimensuel équivaut à faire un versement mensuel supplémentaire chaque année. Ainsi, votre dette en capital diminuera plus rapidement et vous économiserez considérablement sur les intérêts. En conclusion, le remboursement anticipé d’une hypothèque peut être avantageux, mais ce n’est pas nécessairement la meilleure chose à faire : selon les termes prévus dans votre contrat, cette décision pourrait vous coûter cher et avoir un impact sur l’ensemble de vos finances. Discutez-en avec votre courtier hypothécaire. Il pourra vous aider à faire un choix bien réfléchi, selon votre situation financière, votre contrat hypothécaire actuel et vos projets futurs.]]>

Est-ce avantageux de rembourser son hypothèque rapidement ?

Le prêt hypothécaire est un engagement financier à long terme, souvent le plus important d’une vie ! Habituellement, le montant est amorti sur une période de 25 ans. Ce faisant, les emprunteurs payent beaucoup d’intérêts, surtout au cours des premières années. Ainsi, plusieurs personnes soucieuses de diminuer le montant payé en intérêts veulent rembourser plus rapidement leur hypothèque. Certains propriétaires profitent aussi d’une entrée d’argent supplémentaire pour accélérer les paiements. Mais, est-ce toujours avantageux de rembourser votre hypothèque plus rapidement que prévu ? Comme plusieurs questions relatives à l’immobilier, la réponse dépend de votre situation personnelle. Voici quelques éléments à prendre en considération avant d’opter pour le remboursement anticipé de votre prêt hypothécaire. Qu’est-ce que le remboursement anticipé d’une hypothèque ? Lorsqu’un emprunteur rembourse son hypothèque plus rapidement que le terme prévu, en totalité ou en partie, on parle de remboursement anticipé. Habituellement, les institutions financières imposent alors une pénalité aux emprunteurs, qui peut coûter plusieurs milliers de dollars. Il s’agit en fait d’une compensation pour la perte d’intérêts. Les pénalités peuvent s’appliquer pour plusieurs scénarios, notamment lors de paiements plus élevés que ceux prévus à l’entente et de la résiliation du contrat ou de son transfert vers une autre institution financière. Vous payerez également une pénalité si vous remboursez en totalité votre solde hypothécaire avant la fin du terme, par exemple lors de la vente de votre propriété. Par contre, votre contrat pourrait comprendre un privilège pour remboursement anticipé, c’est-à-dire la possibilité d’augmenter votre versement périodique ou de faire un paiement additionnel unique d’un montant maximal prédéterminé. Ces options vous permettent de réduire la durée de votre prêt hypothécaire et d’économiser une partie des intérêts, pour autant que vous respectiez les limites fixées à votre contrat. Comment rembourser plus rapidement votre hypothèque sans pénalité ? Le meilleur conseil pour rembourser votre hypothèque plus vite est d’augmenter la fréquence des versements. Passer d’un paiement mensuel à un paiement hebdomadaire ou bimensuel équivaut à faire un versement mensuel supplémentaire chaque année. Ainsi, votre dette en capital diminuera plus rapidement et vous économiserez considérablement sur les intérêts. En conclusion, le remboursement anticipé d’une hypothèque peut être avantageux, mais ce n’est pas nécessairement la meilleure chose à faire : selon les termes prévus dans votre contrat, cette décision pourrait vous coûter cher et avoir un impact sur l’ensemble de vos finances. Discutez-en avec votre courtier hypothécaire. Il pourra vous aider à faire un choix bien réfléchi, selon votre situation financière, votre contrat hypothécaire actuel et vos projets futurs.]]>
Qu’est-ce qu’un prêteur privé et quels avantages offre-t-il ? https://demoaliquando.com/en/stratego/preteur-prive/ Fri, 15 Jul 2022 15:07:21 +0000 https://blog.source.immo/?p=500

Qu’est-ce qu’un prêteur privé et quels avantages offre-t-il?

Saviez-vous que contracter un prêt hypothécaire auprès d’une institution financière n’est pas la seule façon de financer l’achat d’une maison ? Il existe une autre voie qu’il vaut la peine de considérer, surtout pour les personnes qui ont un accès plus difficile au crédit et au financement traditionnels. En effet, faire affaire avec un prêteur privé peut représenter une option intéressante pour accéder à la propriété, du moins à court terme. Mais comment fonctionne le mode de financement offert par les prêteurs privés ? Est-ce sécuritaire ? Voici quelques réponses qui vous donneront un meilleur éclairage sur le financement d’une propriété avec un prêteur privé. En quoi le prêteur privé est-il différent des institutions financières ? Un prêteur privé est un investisseur — il peut s’agir d’un particulier ou d’une entreprise — qui souhaite mettre ses liquidités à la disposition d’un emprunteur dans le but, à terme, de faire fructifier son argent en obtenant un rendement sur le prêt octroyé. Ainsi, cet investisseur ne passe pas par les banques ou les marchés traditionnels pour placer son argent. Un prêt privé peut s’appliquer à différentes situations, pas seulement à l’immobilier résidentiel. Il s’agit d’une pratique plus courante dans le domaine commercial et industriel. Comment fonctionne le prêt privé ? À la base, un prêt privé fonctionne de la même façon qu’un prêt octroyé par une institution financière : l’emprunteur rembourse le prêt et les intérêts selon les dispositions établies dans un contrat. En outre, le prêteur privé considère lui aussi le ratio d’endettement de l’emprunteur. Le prêt privé exige qu’une équité (ou une valeur nette) soit disponible sur le bien concerné par la transaction, c’est-à-dire que la valeur marchande de l’immeuble doit être plus élevée que le montant du prêt. Une mise de fonds pourrait tout de même être nécessaire, mais cette dernière n’est pas tenue de respecter les règles dictées par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le prêt privé est sécuritaire : il s’agit d’un contrat légal et notarié. Quels sont les avantages de faire affaire avec un prêteur privé ? Bien que le prêteur privé consente des prêts à des taux plus élevés que ceux des institutions financières, ce type de financement peut se révéler avantageux pour vous, selon votre situation. D’abord, le prêt privé peut vous permettre de devenir propriétaire même si vous avez des difficultés à vous qualifier auprès des institutions financières. Il peut également vous aider à améliorer votre crédit, à la condition que vous respectiez les paiements et les engagements convenus au contrat. Même si le recours à un prêt privé peut sembler intimidant, c’est un type de financement tout à fait légal et sécuritaire, puisque le contrat est notarié. Il suffit de bien s’informer si cette option convient à votre situation personnelle.]]>

Qu’est-ce qu’un prêteur privé et quels avantages offre-t-il?

Saviez-vous que contracter un prêt hypothécaire auprès d’une institution financière n’est pas la seule façon de financer l’achat d’une maison ? Il existe une autre voie qu’il vaut la peine de considérer, surtout pour les personnes qui ont un accès plus difficile au crédit et au financement traditionnels. En effet, faire affaire avec un prêteur privé peut représenter une option intéressante pour accéder à la propriété, du moins à court terme. Mais comment fonctionne le mode de financement offert par les prêteurs privés ? Est-ce sécuritaire ? Voici quelques réponses qui vous donneront un meilleur éclairage sur le financement d’une propriété avec un prêteur privé. En quoi le prêteur privé est-il différent des institutions financières ? Un prêteur privé est un investisseur — il peut s’agir d’un particulier ou d’une entreprise — qui souhaite mettre ses liquidités à la disposition d’un emprunteur dans le but, à terme, de faire fructifier son argent en obtenant un rendement sur le prêt octroyé. Ainsi, cet investisseur ne passe pas par les banques ou les marchés traditionnels pour placer son argent. Un prêt privé peut s’appliquer à différentes situations, pas seulement à l’immobilier résidentiel. Il s’agit d’une pratique plus courante dans le domaine commercial et industriel. Comment fonctionne le prêt privé ? À la base, un prêt privé fonctionne de la même façon qu’un prêt octroyé par une institution financière : l’emprunteur rembourse le prêt et les intérêts selon les dispositions établies dans un contrat. En outre, le prêteur privé considère lui aussi le ratio d’endettement de l’emprunteur. Le prêt privé exige qu’une équité (ou une valeur nette) soit disponible sur le bien concerné par la transaction, c’est-à-dire que la valeur marchande de l’immeuble doit être plus élevée que le montant du prêt. Une mise de fonds pourrait tout de même être nécessaire, mais cette dernière n’est pas tenue de respecter les règles dictées par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le prêt privé est sécuritaire : il s’agit d’un contrat légal et notarié. Quels sont les avantages de faire affaire avec un prêteur privé ? Bien que le prêteur privé consente des prêts à des taux plus élevés que ceux des institutions financières, ce type de financement peut se révéler avantageux pour vous, selon votre situation. D’abord, le prêt privé peut vous permettre de devenir propriétaire même si vous avez des difficultés à vous qualifier auprès des institutions financières. Il peut également vous aider à améliorer votre crédit, à la condition que vous respectiez les paiements et les engagements convenus au contrat. Même si le recours à un prêt privé peut sembler intimidant, c’est un type de financement tout à fait légal et sécuritaire, puisque le contrat est notarié. Il suffit de bien s’informer si cette option convient à votre situation personnelle.]]>
Tout savoir sur l’autoconstruction de sa maison https://demoaliquando.com/en/stratego/autoconstruction/ Thu, 02 Jun 2022 14:55:02 +0000 https://blog.source.immo/?p=478

Tout savoir sur l’autoconstruction de sa maison !

L’idée de construire vous-mêmes votre maison sur le terrain que vous avez soigneusement choisi vous enchante énormément ? Pour vous, l’autoconstruction est la meilleure façon d’avoir une propriété qui vous ressemble ?

Voici un aperçu de ce qui vous attend si vous décidez d’être l’entrepreneur en construction de votre future maison.

Qu’est-ce qu’une autoconstruction ?

Avant d’aborder les avantages et les caractéristiques de l’autoconstruction, il est important de bien comprendre ce que c’est réellement. Il s’agit d’un projet de construction d’une maison pour lequel vous gérez, supervisez et effectuez tous les travaux, de la fondation à la finition intérieure.

Vous pouvez quand même confier certaines tâches à des sous-traitants. Cependant, pour respecter les critères des prêteurs, la valeur des travaux réalisés par ces derniers ne devrait pas dépasser la moitié des coûts de construction prévus.

Ainsi, bâtir sa maison soi-même signifie être responsable du projet de construction dans son ensemble, incluant la gestion et le paiement des fournisseurs.

L’autoconstruction, un travail qui débute bien avant la première pelletée de terre.

Un des principaux avantages de faire affaire avec un entrepreneur pour la construction de votre maison est certainement sa bonne connaissance du domaine. Elle est probablement bien supérieure à la vôtre, à moins que vous ayez déjà oeuvré dans l’industrie de la construction. Il faut savoir qu’il y a de nombreuses démarches à effectuer, dont la demande de permis de construction, l’arpentage du terrain, l’étude de sol, la conception des plans, la préparation d’un budget et son suivi, etc.

L’autoconstruction est aussi un travail exigeant tout au long du projet. Achats auprès des fournisseurs, coordination des sous-traitants, choix des matériaux : il y a tant à faire et à penser que vous serez accaparés plusieurs heures par semaine par la gestion du chantier.

Concrètement, quels sont les avantages d’un projet d’autoconstruction ?

La raison principale qui motive les futurs propriétaires à construire eux-mêmes leur demeure est les économies qu’ils peuvent réaliser. Selon des experts, le coût d’une maison autoconstruite peut-être jusqu’à 30 % inférieur à celui d’une maison construite par un entrepreneur général.

Certaines personnes préfèrent également construire elles-mêmes leur maison afin d’avoir le contrôle total sur la qualité de la construction et du choix des matériaux.

Et quels sont les désavantages de l’autoconstruction ?

Il n’y a pas que des avantages à être son propre entrepreneur général ! C’est un projet qui prend énormément de temps, d’énergie et de connaissances.

De plus, l’autoconstructeur n’est pas à l’abri d’imprévus techniques ou financiers qui peuvent engendrer un retard important des délais de construction projetés.

La clé du succès : connaître ses limites.

Même si, par définition, l’autoconstruction est un projet à réaliser par soi-même, il est souhaitable de confier certains travaux à des experts.

Par exemple, les travaux d’électricité ou d’installation d’appareils au gaz doivent être faits par des entrepreneurs spécialisés qui détiennent une licence de la Régie du bâtiment du Québec.

Si vous demandez l’aide d’amis ou de membres de votre famille, sachez que vous êtes tenu d’assurer la sécurité de toutes les personnes présentes sur le chantier et que seulement les travaux de finition effectués bénévolement sont tolérés. Autrement, vous devez obtenir les certifications nécessaires, vous enregistrer auprès de la Commission de la construction du Québec (CCQ) et exiger les certificats de compétences adéquats.

Comment financer l’autoconstruction de sa maison ?

Bien qu’il soit tout à fait possible de contracter une hypothèque pour un projet d’autoconstruction, ce ne sont pas tous les prêteurs qui offrent ce genre de produits financiers et les critères sont souvent plus sévères.

Pour vous éviter du stress supplémentaire, assurez-vous d’avoir les reins assez solides pour faire face aux surprises qui pourraient survenir durant le chantier. Il est recommandé d’avoir une marge de sécurité d’environ 15 % pour pallier les imprévus.  

En résumé, l’autoconstruction est certes un projet ambitieux, mais si vous êtes bien informé et conseillé, votre maison de rêve pourrait être construite de vos propres mains. Voilà une belle histoire à raconter à vos proches !

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Tout savoir sur l’autoconstruction de sa maison !

L’idée de construire vous-mêmes votre maison sur le terrain que vous avez soigneusement choisi vous enchante énormément ? Pour vous, l’autoconstruction est la meilleure façon d’avoir une propriété qui vous ressemble ?

Voici un aperçu de ce qui vous attend si vous décidez d’être l’entrepreneur en construction de votre future maison.

Qu’est-ce qu’une autoconstruction ?

Avant d’aborder les avantages et les caractéristiques de l’autoconstruction, il est important de bien comprendre ce que c’est réellement. Il s’agit d’un projet de construction d’une maison pour lequel vous gérez, supervisez et effectuez tous les travaux, de la fondation à la finition intérieure.

Vous pouvez quand même confier certaines tâches à des sous-traitants. Cependant, pour respecter les critères des prêteurs, la valeur des travaux réalisés par ces derniers ne devrait pas dépasser la moitié des coûts de construction prévus.

Ainsi, bâtir sa maison soi-même signifie être responsable du projet de construction dans son ensemble, incluant la gestion et le paiement des fournisseurs.

L’autoconstruction, un travail qui débute bien avant la première pelletée de terre.

Un des principaux avantages de faire affaire avec un entrepreneur pour la construction de votre maison est certainement sa bonne connaissance du domaine. Elle est probablement bien supérieure à la vôtre, à moins que vous ayez déjà oeuvré dans l’industrie de la construction. Il faut savoir qu’il y a de nombreuses démarches à effectuer, dont la demande de permis de construction, l’arpentage du terrain, l’étude de sol, la conception des plans, la préparation d’un budget et son suivi, etc.

L’autoconstruction est aussi un travail exigeant tout au long du projet. Achats auprès des fournisseurs, coordination des sous-traitants, choix des matériaux : il y a tant à faire et à penser que vous serez accaparés plusieurs heures par semaine par la gestion du chantier.

Concrètement, quels sont les avantages d’un projet d’autoconstruction ?

La raison principale qui motive les futurs propriétaires à construire eux-mêmes leur demeure est les économies qu’ils peuvent réaliser. Selon des experts, le coût d’une maison autoconstruite peut-être jusqu’à 30 % inférieur à celui d’une maison construite par un entrepreneur général.

Certaines personnes préfèrent également construire elles-mêmes leur maison afin d’avoir le contrôle total sur la qualité de la construction et du choix des matériaux.

Et quels sont les désavantages de l’autoconstruction ?

Il n’y a pas que des avantages à être son propre entrepreneur général ! C’est un projet qui prend énormément de temps, d’énergie et de connaissances.

De plus, l’autoconstructeur n’est pas à l’abri d’imprévus techniques ou financiers qui peuvent engendrer un retard important des délais de construction projetés.

La clé du succès : connaître ses limites.

Même si, par définition, l’autoconstruction est un projet à réaliser par soi-même, il est souhaitable de confier certains travaux à des experts.

Par exemple, les travaux d’électricité ou d’installation d’appareils au gaz doivent être faits par des entrepreneurs spécialisés qui détiennent une licence de la Régie du bâtiment du Québec.

Si vous demandez l’aide d’amis ou de membres de votre famille, sachez que vous êtes tenu d’assurer la sécurité de toutes les personnes présentes sur le chantier et que seulement les travaux de finition effectués bénévolement sont tolérés. Autrement, vous devez obtenir les certifications nécessaires, vous enregistrer auprès de la Commission de la construction du Québec (CCQ) et exiger les certificats de compétences adéquats.

Comment financer l’autoconstruction de sa maison ?

Bien qu’il soit tout à fait possible de contracter une hypothèque pour un projet d’autoconstruction, ce ne sont pas tous les prêteurs qui offrent ce genre de produits financiers et les critères sont souvent plus sévères.

Pour vous éviter du stress supplémentaire, assurez-vous d’avoir les reins assez solides pour faire face aux surprises qui pourraient survenir durant le chantier. Il est recommandé d’avoir une marge de sécurité d’environ 15 % pour pallier les imprévus.  

En résumé, l’autoconstruction est certes un projet ambitieux, mais si vous êtes bien informé et conseillé, votre maison de rêve pourrait être construite de vos propres mains. Voilà une belle histoire à raconter à vos proches !

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Comment bien magasiner votre hypothèque ? https://demoaliquando.com/en/finance/comment-bien-magasiner-votre-hypotheque/ Fri, 20 May 2022 13:55:45 +0000 https://blog.source.immo/?p=465

Magasiner une hypothèque ne se limite pas à choisir le meilleur taux d’intérêt. Bien que ce dernier soit un élément important, les termes et les conditions du prêt le sont tout autant.

Voici quelques pistes de réflexion pour orienter vos recherches et vous aider à trouver la meilleure hypothèque pour votre situation.

Magasinez le taux d’intérêt de votre hypothèque.

Souvent, le principal critère dans le choix d’une institution financière avec laquelle contracter un prêt hypothécaire est d’obtenir le taux le plus bas possible.

Mais qu’est-ce qu’un bon taux, surtout en contexte d’inflation, et comment le calcule-t-on ? Il faut savoir que le taux d’intérêt qui vous est présenté par une institution financière se calcule à partir du taux de base de la Banque du Canada et du taux préférentiel de l’institution. Il dépend aussi de plusieurs facteurs liés à votre situation personnelle, entre autres votre risque de non-remboursement et de remboursement anticipé.

Magasinez les termes et les conditions de votre hypothèque.

Bien qu’un taux d’intérêt bas soit un élément essentiel à considérer pour magasiner l’hypothèque idéale, d’autres facteurs doivent être pris en compte.

Les termes et les conditions d’un prêt hypothécaire ne sont pas toujours les éléments auxquels les propriétaires s’intéressent le plus, pourtant, ils représentent un bon objet de négociation avec les institutions financières. Ils peuvent vous faire économiser gros en fin de compte.

Une des conditions à ne pas négliger est le remboursement anticipé, que ce soit le paiement du solde total suite à la vente de votre propriété, l’augmentation des versements en cours de contrat ou le versement d’un montant forfaitaire.

Par exemple, dans le cas d’une vente avant la fin du terme et sans rachat, la banque pourrait vous imposer une pénalité, qui peut représenter une somme considérable. En ce qui a trait à l’augmentation des versements et au paiement d’un montant forfaitaire, des limites pourraient être indiquées au contrat et, en cas de dépassement, des frais pourraient vous être facturés.

Ainsi, si vous prévoyez vendre votre maison avant l’échéance de votre prêt hypothécaire ou si vous pensez augmenter vos paiements en cours de contrat, de bonnes conditions pourraient se révéler plus économiques même si le taux d’intérêt est un peu plus élevé.

Dans tous les cas, assurez-vous de bien comprendre les conditions de votre prêt hypothécaire avant d’y apposer votre signature afin de vous éviter de mauvaises surprises.

Demandez conseil à un courtier hypothécaire.

Les éléments présentés ci-haut ne sont qu’un aperçu des points à considérer pour magasiner une hypothèque avantageuse. Pour vous aider à faire un choix avisé, faites appel à un courtier hypothécaire. Il saura trouver l’institution financière qui vous offrira les meilleures conditions selon votre situation.

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Magasiner une hypothèque ne se limite pas à choisir le meilleur taux d’intérêt. Bien que ce dernier soit un élément important, les termes et les conditions du prêt le sont tout autant.

Voici quelques pistes de réflexion pour orienter vos recherches et vous aider à trouver la meilleure hypothèque pour votre situation.

Magasinez le taux d’intérêt de votre hypothèque.

Souvent, le principal critère dans le choix d’une institution financière avec laquelle contracter un prêt hypothécaire est d’obtenir le taux le plus bas possible.

Mais qu’est-ce qu’un bon taux, surtout en contexte d’inflation, et comment le calcule-t-on ? Il faut savoir que le taux d’intérêt qui vous est présenté par une institution financière se calcule à partir du taux de base de la Banque du Canada et du taux préférentiel de l’institution. Il dépend aussi de plusieurs facteurs liés à votre situation personnelle, entre autres votre risque de non-remboursement et de remboursement anticipé.

Magasinez les termes et les conditions de votre hypothèque.

Bien qu’un taux d’intérêt bas soit un élément essentiel à considérer pour magasiner l’hypothèque idéale, d’autres facteurs doivent être pris en compte.

Les termes et les conditions d’un prêt hypothécaire ne sont pas toujours les éléments auxquels les propriétaires s’intéressent le plus, pourtant, ils représentent un bon objet de négociation avec les institutions financières. Ils peuvent vous faire économiser gros en fin de compte.

Une des conditions à ne pas négliger est le remboursement anticipé, que ce soit le paiement du solde total suite à la vente de votre propriété, l’augmentation des versements en cours de contrat ou le versement d’un montant forfaitaire.

Par exemple, dans le cas d’une vente avant la fin du terme et sans rachat, la banque pourrait vous imposer une pénalité, qui peut représenter une somme considérable. En ce qui a trait à l’augmentation des versements et au paiement d’un montant forfaitaire, des limites pourraient être indiquées au contrat et, en cas de dépassement, des frais pourraient vous être facturés.

Ainsi, si vous prévoyez vendre votre maison avant l’échéance de votre prêt hypothécaire ou si vous pensez augmenter vos paiements en cours de contrat, de bonnes conditions pourraient se révéler plus économiques même si le taux d’intérêt est un peu plus élevé.

Dans tous les cas, assurez-vous de bien comprendre les conditions de votre prêt hypothécaire avant d’y apposer votre signature afin de vous éviter de mauvaises surprises.

Demandez conseil à un courtier hypothécaire.

Les éléments présentés ci-haut ne sont qu’un aperçu des points à considérer pour magasiner une hypothèque avantageuse. Pour vous aider à faire un choix avisé, faites appel à un courtier hypothécaire. Il saura trouver l’institution financière qui vous offrira les meilleures conditions selon votre situation.

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5 conseils pour l’achat d’une première propriété https://demoaliquando.com/en/aliquando/5-conseils-pour-lachat-d-une-premiere-propriete/ Tue, 01 Mar 2022 02:00:00 +0000 https://blog.source.immo/?p=404

L’achat d’une première propriété est sans doute l’un des moments les plus marquants d’une vie, mais également l’un des plus stressants. Voici 5 conseils pratiques qui vous aideront à faire le meilleur choix, en fonction de votre situation personnelle et de votre style de vie[1]

1. Planifier le processus d’achat

Le processus d’achat peut parfois sembler complexe. Avant même d’amorcer vos recherches, familiarisez-vous avec les premières étapes du processus d’achat qui comprend :

En effectuant un exercice financier, vous serez en mesure de déterminer le prix que vous êtes prêt à payer pour votre future propriété, ainsi que le montant de la mise de fonds. À cette étape, n’hésitez pas à rencontrer un courtier hypothécaire afin d’obtenir une préapprobation hypothécaire. Vous aurez alors l’heure juste afin de poursuivre vos recherches et de dénicher la propriété idéale!

2. Déterminer ses besoins

Pour faire un choix judicieux, prenez ensuite le temps de dresser la liste de vos besoins afin d’avoir une meilleure idée du type d’habitation que vous recherchez.

Voici quelques questions qui pourront alimenter votre réflexion[2]  :

  • Combien de personnes vivront sous le même toit?
  • Avez-vous des animaux de compagnie?
  • Quels sont vos besoins de stationnement?
  • Aimeriez-vous avoir plusieurs espaces de rangement?
  • Souhaitez-vous avoir accès à un espace extérieur?
  • Travaillez-vous de la maison ou y recevez-vous des clients?
  • Avez-vous besoin de certaines pièces pour des fonctions spécifiques?
  • Désirez-vous aménager un jardin?

Une fois ces éléments identifiés, vous pourrez vous attarder à la localisation de votre future propriété en effectuant un premier tri des quartiers qui vous intéressent.

3. Évaluer les dépenses

Lorsque vous trouverez une propriété qui vous plaît, informez-vous par rapport au prix demandé et aux autres dépenses, comme les taxes, les frais de copropriété, les assurances, les coûts d’énergie, les frais d’entretien, etc. Pensez également à étudier les propriétés comparables vendues récemment afin d’avoir une estimation du prix de vente par rapport à la moyenne[3] .

4. Choisir le bon type de propriété

Condo ou maison unifamiliale? En banlieue ou au centre-ville? Les possibilités sont nombreuses et comportent toutes des avantages et des inconvénients[4] [5].

L’achat d’un condo

Un condo est souvent présenté aux premiers acheteurs comme étant une bonne option en raison de l’accessibilité aux services, des prix plus bas et de la sécurité qu’il procure. Comme il s’agit d’une copropriété, l’entretien y est minime et les responsabilités peuvent être partagées entre les copropriétaires. Toutefois, la vie de condo peut s’avérer plus contraignante en raison du manque d’intimité, de l’utilisation des aires communes et des règlements à respecter.

D’un point de vue financier, l’hypothèque combinée aux frais de copropriété, aux impôts fonciers et à l’assurance devrait occuper au plus 30 % de votre revenu mensuel[6] . À titre indicatif, au Québec, les frais de copropriété s’élèvent à près de 195 $ par mois, ce qui représente 2 340 $ annuellement[7].

L’achat d’une maison unifamiliale

Si vous aimez le calme et la nature, acheter une maison unifamiliale peut être une option très intéressante! Vous pourrez ainsi profiter d’une plus grande superficie habitable et d’un espace extérieur aménagé selon vos besoins. Gardez toutefois en tête qu’une maison unifamiliale nécessitera plus d’entretien, ce qui implique également des coûts additionnels.

Dans le cas d’une maison unifamiliale, l’hypothèque et les taxes municipales et scolaires ne devraient pas dépasser 25 % de votre revenu mensuel[8] .Par ailleurs, les frais d’entretien annuels seront généralement supérieurs à ceux d’un condo et se situent entre 1 % et 3 % de la valeur, ce qui représente entre 2 500 $ et 7 500 $ pour une propriété de 250 000 $ [9].

Toutefois, malgré ces dépenses, une maison représente généralement un investissement plus sûr qu’un condo puisque sa valeur se conserve mieux et qu’elle peut être augmentée par des rénovations[10] 

5. Prévoir la revente

Si vous prévoyez que cette première propriété ne sera qu’une étape transitoire, comme c’est souvent le cas pour l’achat d’un condo, évaluez bien le prix de manière à ne pas payer trop cher. Ainsi, vous pourrez la revendre plus facilement et réaliser des profits dans quelques années.

Votre principal atout pour l’achat d’une première propriété? Être à la fois exigeant et ouvert d’esprit. Mieux vaut prendre le temps d’analyser les avantages et les inconvénients de chacune de vos options afin de faire un choix judicieux. Et afin que tout se déroule dans les meilleures conditions, n’hésitez pas à faire appel à un courtier immobilier qui vous accompagnera tout au long du processus.

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[1]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[2]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[3]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[4]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[5]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[6]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[7]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[8]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[9]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[10]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/5-conseils-pour-l-achat-d-une-premiere-propriete?uc=0

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L’achat d’une première propriété est sans doute l’un des moments les plus marquants d’une vie, mais également l’un des plus stressants. Voici 5 conseils pratiques qui vous aideront à faire le meilleur choix, en fonction de votre situation personnelle et de votre style de vie[1]

1. Planifier le processus d’achat

Le processus d’achat peut parfois sembler complexe. Avant même d’amorcer vos recherches, familiarisez-vous avec les premières étapes du processus d’achat qui comprend :

En effectuant un exercice financier, vous serez en mesure de déterminer le prix que vous êtes prêt à payer pour votre future propriété, ainsi que le montant de la mise de fonds. À cette étape, n’hésitez pas à rencontrer un courtier hypothécaire afin d’obtenir une préapprobation hypothécaire. Vous aurez alors l’heure juste afin de poursuivre vos recherches et de dénicher la propriété idéale!

2. Déterminer ses besoins

Pour faire un choix judicieux, prenez ensuite le temps de dresser la liste de vos besoins afin d’avoir une meilleure idée du type d’habitation que vous recherchez.

Voici quelques questions qui pourront alimenter votre réflexion[2]  :

  • Combien de personnes vivront sous le même toit?
  • Avez-vous des animaux de compagnie?
  • Quels sont vos besoins de stationnement?
  • Aimeriez-vous avoir plusieurs espaces de rangement?
  • Souhaitez-vous avoir accès à un espace extérieur?
  • Travaillez-vous de la maison ou y recevez-vous des clients?
  • Avez-vous besoin de certaines pièces pour des fonctions spécifiques?
  • Désirez-vous aménager un jardin?

Une fois ces éléments identifiés, vous pourrez vous attarder à la localisation de votre future propriété en effectuant un premier tri des quartiers qui vous intéressent.

3. Évaluer les dépenses

Lorsque vous trouverez une propriété qui vous plaît, informez-vous par rapport au prix demandé et aux autres dépenses, comme les taxes, les frais de copropriété, les assurances, les coûts d’énergie, les frais d’entretien, etc. Pensez également à étudier les propriétés comparables vendues récemment afin d’avoir une estimation du prix de vente par rapport à la moyenne[3] .

4. Choisir le bon type de propriété

Condo ou maison unifamiliale? En banlieue ou au centre-ville? Les possibilités sont nombreuses et comportent toutes des avantages et des inconvénients[4] [5].

L’achat d’un condo

Un condo est souvent présenté aux premiers acheteurs comme étant une bonne option en raison de l’accessibilité aux services, des prix plus bas et de la sécurité qu’il procure. Comme il s’agit d’une copropriété, l’entretien y est minime et les responsabilités peuvent être partagées entre les copropriétaires. Toutefois, la vie de condo peut s’avérer plus contraignante en raison du manque d’intimité, de l’utilisation des aires communes et des règlements à respecter.

D’un point de vue financier, l’hypothèque combinée aux frais de copropriété, aux impôts fonciers et à l’assurance devrait occuper au plus 30 % de votre revenu mensuel[6] . À titre indicatif, au Québec, les frais de copropriété s’élèvent à près de 195 $ par mois, ce qui représente 2 340 $ annuellement[7].

L’achat d’une maison unifamiliale

Si vous aimez le calme et la nature, acheter une maison unifamiliale peut être une option très intéressante! Vous pourrez ainsi profiter d’une plus grande superficie habitable et d’un espace extérieur aménagé selon vos besoins. Gardez toutefois en tête qu’une maison unifamiliale nécessitera plus d’entretien, ce qui implique également des coûts additionnels.

Dans le cas d’une maison unifamiliale, l’hypothèque et les taxes municipales et scolaires ne devraient pas dépasser 25 % de votre revenu mensuel[8] .Par ailleurs, les frais d’entretien annuels seront généralement supérieurs à ceux d’un condo et se situent entre 1 % et 3 % de la valeur, ce qui représente entre 2 500 $ et 7 500 $ pour une propriété de 250 000 $ [9].

Toutefois, malgré ces dépenses, une maison représente généralement un investissement plus sûr qu’un condo puisque sa valeur se conserve mieux et qu’elle peut être augmentée par des rénovations[10] 

5. Prévoir la revente

Si vous prévoyez que cette première propriété ne sera qu’une étape transitoire, comme c’est souvent le cas pour l’achat d’un condo, évaluez bien le prix de manière à ne pas payer trop cher. Ainsi, vous pourrez la revendre plus facilement et réaliser des profits dans quelques années.

Votre principal atout pour l’achat d’une première propriété? Être à la fois exigeant et ouvert d’esprit. Mieux vaut prendre le temps d’analyser les avantages et les inconvénients de chacune de vos options afin de faire un choix judicieux. Et afin que tout se déroule dans les meilleures conditions, n’hésitez pas à faire appel à un courtier immobilier qui vous accompagnera tout au long du processus.

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[1]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[2]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[3]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[4]https://www.remax-du-cartier-montreal-qc-srmp.com/fr/actualites/premier-acheteur-quelle-propriete-cibler

[5]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[6]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[7]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[8]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[9]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

[10]https://soumissionscourtiers.ca/acheter-un-condo-ou-une-maison-telle-est-la-question/

Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/5-conseils-pour-l-achat-d-une-premiere-propriete?uc=0

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Emprunter pour rénover : quel type de prêt choisir? https://demoaliquando.com/en/finance/emprunter-pour-renover/ Fri, 28 Jan 2022 17:27:40 +0000 https://blog.source.immo/?p=346

La grande majorité des propriétaires sera d’accord pour dire qu’il y a toujours des projets à réaliser sur une propriété. Moderniser une pièce pour la rendre au goût du jour, réparer la toiture, remplacer un système de chauffage désuet, finir le sous-sol ou encore rénover la cuisine : ce ne sont pas les idées d’amélioration qui manquent!

Mais comme vous le constaterez dès vos premières recherches, les projets de rénovation sont souvent dispendieux. Si vous ne pouvez compter sur vos économies personnelles, vous devrez probablement emprunter pour rénover. Pour ce faire, plusieurs options de financement s’offrent à vous.

Voici un aperçu des différents types de prêts pour rénovations qu’il vous est possible de contracter.

Emprunter pour un petit projet de rénovation

L’option de la carte de crédit peut être intéressante si vous n’avez que des travaux mineurs à réaliser (5 000 $ et moins) et que vous avez les liquidités nécessaires pour faire les paiements mensuels requis. Informez-vous aussi des programmes de remise en argent ou en points qui peuvent être très intéressants.

Les prêts et marges personnels

Pour des projets de moyenne envergure, les prêts et les marges personnels représentent de meilleures options que les cartes de crédit, car leurs taux d’intérêt sont généralement plus bas.

Si votre projet s’échelonne sur plusieurs mois, la marge pourrait s’avérer avantageuse, car le paiement des intérêts s’applique seulement sur la portion que vous utilisez. De plus, vous bénéficiez d’un moment préapprouvé : vous n’aurez donc pas à faire une nouvelle demande de prêt chaque fois que vous aurez besoin de fonds.

L’hypothèque, un levier qui permet d’emprunter facilement pour rénover

Dans la plupart des cas, les propriétaires peuvent utiliser leur hypothèque comme levier de financement. Il y a différentes façons de faire, mais les deux méthodes les plus usuelles sont la marge hypothécaire et le refinancement d’hypothèque.

La marge hypothécaire est une solution flexible pour d’obtenir rapidement des fonds destinés à n’importe quel projet, y compris des rénovations. Comme pour la marge personnelle, les fonds sont disponibles tant qu’elle est active et les intérêts sont seulement calculés sur la portion utilisée.

Quant au refinancement hypothécaire, il s’agit d’utiliser l’équité de sa propriété (valeur actuelle de la propriété moins le solde hypothécaire) pour financer les travaux. Cette méthode vous permet de profiter d’un taux d’intérêt plus bas et d’amortir le montant à rembourser sur une plus longue période. Cette option est particulièrement intéressante si vous voulez emprunter pour rénover dans le but d’augmenter la valeur de votre propriété avant de la vendre.

Emprunter pour rénover lors de l’achat d’une propriété

Vous êtes sur le point d’acheter une maison qui a besoin d’un peu d’amour? Sachez qu’il est possible d’inclure l’emprunt pour les rénovations à même le prêt hypothécaire, mais à certaines conditions.

La plupart des institutions financières vous soumettront à un processus rigoureux : remise de soumissions et de plans et devis avant l’acceptation de la demande, remise des reçus finaux et inspection des travaux après leur réalisation. Il n’y a donc pas de place pour les imprévus!

La meilleure option de financement est celle qui tient compte de votre situation personnelle.

Toutes les grandes institutions financières offrent différents prêts pour les rénovations. Les appellations, les critères d’admissibilité, les taux d’intérêt et les modalités de paiement diffèrent d’un prêteur à l’autre. Devant l’étendue de l’offre, il peut être difficile de vous y retrouver et de choisir le produit le plus avantageux pour vous.

En connaissant bien votre situation personnelle ainsi que la multitude de produits de financement sur le marché, votre courtier hypothécaire peut vous être d’une grande utilité. Pensez à lui demander conseil avant d’emprunter pour rénover. C’est de loin votre meilleure option

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La grande majorité des propriétaires sera d’accord pour dire qu’il y a toujours des projets à réaliser sur une propriété. Moderniser une pièce pour la rendre au goût du jour, réparer la toiture, remplacer un système de chauffage désuet, finir le sous-sol ou encore rénover la cuisine : ce ne sont pas les idées d’amélioration qui manquent!

Mais comme vous le constaterez dès vos premières recherches, les projets de rénovation sont souvent dispendieux. Si vous ne pouvez compter sur vos économies personnelles, vous devrez probablement emprunter pour rénover. Pour ce faire, plusieurs options de financement s’offrent à vous.

Voici un aperçu des différents types de prêts pour rénovations qu’il vous est possible de contracter.

Emprunter pour un petit projet de rénovation

L’option de la carte de crédit peut être intéressante si vous n’avez que des travaux mineurs à réaliser (5 000 $ et moins) et que vous avez les liquidités nécessaires pour faire les paiements mensuels requis. Informez-vous aussi des programmes de remise en argent ou en points qui peuvent être très intéressants.

Les prêts et marges personnels

Pour des projets de moyenne envergure, les prêts et les marges personnels représentent de meilleures options que les cartes de crédit, car leurs taux d’intérêt sont généralement plus bas.

Si votre projet s’échelonne sur plusieurs mois, la marge pourrait s’avérer avantageuse, car le paiement des intérêts s’applique seulement sur la portion que vous utilisez. De plus, vous bénéficiez d’un moment préapprouvé : vous n’aurez donc pas à faire une nouvelle demande de prêt chaque fois que vous aurez besoin de fonds.

L’hypothèque, un levier qui permet d’emprunter facilement pour rénover

Dans la plupart des cas, les propriétaires peuvent utiliser leur hypothèque comme levier de financement. Il y a différentes façons de faire, mais les deux méthodes les plus usuelles sont la marge hypothécaire et le refinancement d’hypothèque.

La marge hypothécaire est une solution flexible pour d’obtenir rapidement des fonds destinés à n’importe quel projet, y compris des rénovations. Comme pour la marge personnelle, les fonds sont disponibles tant qu’elle est active et les intérêts sont seulement calculés sur la portion utilisée.

Quant au refinancement hypothécaire, il s’agit d’utiliser l’équité de sa propriété (valeur actuelle de la propriété moins le solde hypothécaire) pour financer les travaux. Cette méthode vous permet de profiter d’un taux d’intérêt plus bas et d’amortir le montant à rembourser sur une plus longue période. Cette option est particulièrement intéressante si vous voulez emprunter pour rénover dans le but d’augmenter la valeur de votre propriété avant de la vendre.

Emprunter pour rénover lors de l’achat d’une propriété

Vous êtes sur le point d’acheter une maison qui a besoin d’un peu d’amour? Sachez qu’il est possible d’inclure l’emprunt pour les rénovations à même le prêt hypothécaire, mais à certaines conditions.

La plupart des institutions financières vous soumettront à un processus rigoureux : remise de soumissions et de plans et devis avant l’acceptation de la demande, remise des reçus finaux et inspection des travaux après leur réalisation. Il n’y a donc pas de place pour les imprévus!

La meilleure option de financement est celle qui tient compte de votre situation personnelle.

Toutes les grandes institutions financières offrent différents prêts pour les rénovations. Les appellations, les critères d’admissibilité, les taux d’intérêt et les modalités de paiement diffèrent d’un prêteur à l’autre. Devant l’étendue de l’offre, il peut être difficile de vous y retrouver et de choisir le produit le plus avantageux pour vous.

En connaissant bien votre situation personnelle ainsi que la multitude de produits de financement sur le marché, votre courtier hypothécaire peut vous être d’une grande utilité. Pensez à lui demander conseil avant d’emprunter pour rénover. C’est de loin votre meilleure option

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Projet de mini maison : bon ou mauvais investissement? https://demoaliquando.com/en/aliquando/projet-de-mini-maison-bon-ou-mauvais-investissement/ Wed, 26 Jan 2022 14:00:00 +0000 https://blog.source.immo/?p=365

Fortes de leur popularité, les mini maisons séduisent les acheteurs québécois qui rêvent de se libérer d’une hypothèque et de gagner en liberté. Pourtant, même si ce type d’habitation constitue une option intéressante aux maisons traditionnelles en raison de leur aspect écologique et de leur facilité d’entretien, elles comportent plusieurs inconvénients.

Qu’est-ce qu’une mini maison?

Aménagée avec ingéniosité et créativité pour compenser une superficie habitable réduite, une mini maison comprend, en moyenne, entre 100 et 300 pieds carrés et peut être :

  • Fixe (sur fondation)
  • Transportable (déplaçable)
  • Mobile (sur roues)

Grâce à ces petites maisons, il est possible de devenir propriétaire pour seulement 20 000 $, dans le cas d’une autoconstruction, et pour 50 000 $ à 60 000 $ dans le cas d’un projet clés en main[1]. Ces montants excluent l’achat d’un terrain ou d’une remorque.

Quels sont les principaux inconvénients?

Bien qu’attrayantes en raison de leur prix et de leur mobilité, ces habitations comportent certains inconvénients, dont les cinq principaux sont[2] :

Le manque d’intimité

Si le fait d’habiter seul dans une mini maison est réaliste, y vivre à plusieurs peut être un réel défi à long terme, alors que chacun voudra préserver une certaine intimité. Pour plusieurs acheteurs, y fonder une famille est impensable, ce qui en fait une solution transitoire, comparativement à une maison traditionnelle qui constitue l’achat d’une vie.

La complexité des règlements municipaux

Au Québec, le Code de construction, la règlementation municipale et les règles de zonage encadrent la construction des mini maisons, ce qui s’avère complexe[3]. Par exemple, le Code de construction du Québec ne couvre pas les habitations de moins de 700 pieds carrés. De son côté, le règlement provincial québécois sur la construction et la transformation de bâtiments interdit la construction de bâtiments de moins de 275 pieds carrés, dans le cas d’un studio, et de moins de 320 pieds carrés pour une maison unifamiliale comprenant une chambre[4].

Par ailleurs, les mini maisons sur roues sont considérées comme des roulottes. Ainsi, une grande majorité de règlements municipaux ne permettent pas à son propriétaire de l’occuper durant toute l’année.

Les sources de financement limitées

Comme le prix d’une mini maison est peu élevé, celle-ci ne peut être financée par un prêt hypothécaire. Selon Idriss Bouhmouch, directeur du développement des affaires et des opérations pour le Québec de Ratehub, la meilleure option demeure une marge de crédit ou un prêt personnel, bien que le taux d’intérêt d’environ 10 % soit plus élevé que celui d’un prêt hypothécaire, estimé à 2 % ou à 3 %[5].

L’absence de prise de valeur

Bien qu'une mini maison sur roues soit une bonne solution pour se loger, elle ne représente pas un investissement. Ainsi, la valeur d’une propriété réside dans le bâtiment, mais surtout dans le terrain; un élément qui ne peut être pris en considération dans le cas d’une mini maison sur roues.

La revente plus difficile

Le marché des mini maisons est en pleine émergence au Québec, ce qui en fait un type d’habitation plus difficile à revendre, en comparaison à une maison traditionnelle ou à un condo, par exemple.

Où bâtir sa mini maison au Québec?

Plusieurs villes associent la construction de mini maisons à une baisse de la valeur foncière des maisons avoisinantes, ce qui limite les possibilités d’en bâtir au Québec. Toutefois, certaines municipalités sont ouvertes à ce type de projet résidentiel, telles que[6] :

En quête d’évasion et de quiétude?

Plutôt que d’être votre lieu de résidence principale, une mini maison pourrait représenter une option intéressante à un chalet, par exemple, ou encore être un lieu pour accueillir vos invités. C’est un pensez-y-bien!

Consultez notre blogue pour découvrir d’autres articles au sujet de l’immobilier au Québec.

[1]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[2]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[3]https://www.noovomoi.ca/style-et-maison/maison/article.mini-maisons-quebec-lois.1.10315696.html

[4]https://soumissionrenovation.ca/fr/blogue/construire-mini-maison-permis-reglementation-municipale

[5]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[6]https://soumissionrenovation.ca/fr/blogue/construire-mini-maison-permis-reglementation-municipale

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Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/projet-de-mini-maison-bon-ou-mauvais-investissement?uc=1

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Fortes de leur popularité, les mini maisons séduisent les acheteurs québécois qui rêvent de se libérer d’une hypothèque et de gagner en liberté. Pourtant, même si ce type d’habitation constitue une option intéressante aux maisons traditionnelles en raison de leur aspect écologique et de leur facilité d’entretien, elles comportent plusieurs inconvénients.

Qu’est-ce qu’une mini maison?

Aménagée avec ingéniosité et créativité pour compenser une superficie habitable réduite, une mini maison comprend, en moyenne, entre 100 et 300 pieds carrés et peut être :

  • Fixe (sur fondation)
  • Transportable (déplaçable)
  • Mobile (sur roues)

Grâce à ces petites maisons, il est possible de devenir propriétaire pour seulement 20 000 $, dans le cas d’une autoconstruction, et pour 50 000 $ à 60 000 $ dans le cas d’un projet clés en main[1]. Ces montants excluent l’achat d’un terrain ou d’une remorque.

Quels sont les principaux inconvénients?

Bien qu’attrayantes en raison de leur prix et de leur mobilité, ces habitations comportent certains inconvénients, dont les cinq principaux sont[2] :

Le manque d’intimité

Si le fait d’habiter seul dans une mini maison est réaliste, y vivre à plusieurs peut être un réel défi à long terme, alors que chacun voudra préserver une certaine intimité. Pour plusieurs acheteurs, y fonder une famille est impensable, ce qui en fait une solution transitoire, comparativement à une maison traditionnelle qui constitue l’achat d’une vie.

La complexité des règlements municipaux

Au Québec, le Code de construction, la règlementation municipale et les règles de zonage encadrent la construction des mini maisons, ce qui s’avère complexe[3]. Par exemple, le Code de construction du Québec ne couvre pas les habitations de moins de 700 pieds carrés. De son côté, le règlement provincial québécois sur la construction et la transformation de bâtiments interdit la construction de bâtiments de moins de 275 pieds carrés, dans le cas d’un studio, et de moins de 320 pieds carrés pour une maison unifamiliale comprenant une chambre[4].

Par ailleurs, les mini maisons sur roues sont considérées comme des roulottes. Ainsi, une grande majorité de règlements municipaux ne permettent pas à son propriétaire de l’occuper durant toute l’année.

Les sources de financement limitées

Comme le prix d’une mini maison est peu élevé, celle-ci ne peut être financée par un prêt hypothécaire. Selon Idriss Bouhmouch, directeur du développement des affaires et des opérations pour le Québec de Ratehub, la meilleure option demeure une marge de crédit ou un prêt personnel, bien que le taux d’intérêt d’environ 10 % soit plus élevé que celui d’un prêt hypothécaire, estimé à 2 % ou à 3 %[5].

L’absence de prise de valeur

Bien qu'une mini maison sur roues soit une bonne solution pour se loger, elle ne représente pas un investissement. Ainsi, la valeur d’une propriété réside dans le bâtiment, mais surtout dans le terrain; un élément qui ne peut être pris en considération dans le cas d’une mini maison sur roues.

La revente plus difficile

Le marché des mini maisons est en pleine émergence au Québec, ce qui en fait un type d’habitation plus difficile à revendre, en comparaison à une maison traditionnelle ou à un condo, par exemple.

Où bâtir sa mini maison au Québec?

Plusieurs villes associent la construction de mini maisons à une baisse de la valeur foncière des maisons avoisinantes, ce qui limite les possibilités d’en bâtir au Québec. Toutefois, certaines municipalités sont ouvertes à ce type de projet résidentiel, telles que[6] :

En quête d’évasion et de quiétude?

Plutôt que d’être votre lieu de résidence principale, une mini maison pourrait représenter une option intéressante à un chalet, par exemple, ou encore être un lieu pour accueillir vos invités. C’est un pensez-y-bien!

Consultez notre blogue pour découvrir d’autres articles au sujet de l’immobilier au Québec.

[1]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[2]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[3]https://www.noovomoi.ca/style-et-maison/maison/article.mini-maisons-quebec-lois.1.10315696.html

[4]https://soumissionrenovation.ca/fr/blogue/construire-mini-maison-permis-reglementation-municipale

[5]https://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/mini-maisons--tout-nest-pas-tout-rose-/587452

[6]https://soumissionrenovation.ca/fr/blogue/construire-mini-maison-permis-reglementation-municipale

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Source : blogue de Centris : https://www.centris.ca/fr/blogue/immobilier/projet-de-mini-maison-bon-ou-mauvais-investissement?uc=1

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Mise de fonds de 5%: est-ce assez pour acheter une maison? https://demoaliquando.com/en/finance/mise-de-fonds-5/ Wed, 17 Nov 2021 20:17:35 +0000 https://blog.source.immo/?p=279

Au Canada, le versement d’une mise de fonds minimum de 5% à 20% est nécessaire afin de contracter une hypothèque pour l’achat d’une propriété résidentielle. Ce montant est déduit du prix d’achat de la maison et le solde restant constituera l’hypothèque.

Selon les règles en vigueur, les mises de fonds minimums sont de :

  • 5%, si le prix d’achat est de 500 000 $ ou moins;
  • 5% pour la 1re tranche de 500 000$ et 10% pour le restant, si le prix d’achat se situe entre 500 000 $ et 999 999 $;
  • 20%, si le prix d’achat est d’un million de dollars et plus.

Qu’est-ce qui arrive si vous verser seulement la mise de fonds minimum?

Verser seulement la mise de fonds minimum prévue par la loi n’est pas toujours une bonne idée. En effet, si votre mise de fonds est inférieure à 20%, vous devrez obligatoirement souscrire à une assurance prêt hypothécaire. Il s’agit d’une protection pour le prêteur (la banque ou l’institution financière) en cas de défaut de paiement du propriétaire.

La prime varie actuellement entre 0,60 % et 4,50 % du montant de l’hypothèque et est inversement proportionnelle au montant versé en mise de fonds. Ainsi, plus cette dernière se rapproche du 20 %, moins la prime est élevée.

Il est possible d’ajouter le montant de la prime au montant du prêt hypothécaire — mais le taux d’intérêt en vigueur s’appliquera également pour cet ajout — ou de la payer en un seul versement. De plus, au Québec et dans quelques autres provinces, la taxe de vente provinciale s’applique sur la prime d’assurance prêt hypothécaire et ne peut pas être ajoutée au prêt hypothécaire.

Il est important de calculer tous ces frais additionnels dans le cout réel de votre acquisition.

Visez la mise de fonds maximale que vous pouvez vous permettre.

Dans un monde idéal, vous devriez verser une mise de fonds minimale de 20 % du prix d’achat de la propriété, et plus si vous le pouvez. Vous n’aurez pas à payer la prime d’assurance prêt hypothécaire, sans compter que vous économiserez des sommes importantes en frais d’intérêt au fil des ans.

Bien qu’il existe plusieurs façons d’amasser une mise de fonds, chaque situation est unique. Ainsi, l’idéal est de consulter un courtier hypothécaire. Il sera en mesure d’évaluer votre situation et de faire les calculs appropriés pour trouver la solution qui convient le mieux à votre profil.

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Au Canada, le versement d’une mise de fonds minimum de 5% à 20% est nécessaire afin de contracter une hypothèque pour l’achat d’une propriété résidentielle. Ce montant est déduit du prix d’achat de la maison et le solde restant constituera l’hypothèque.

Selon les règles en vigueur, les mises de fonds minimums sont de :

  • 5%, si le prix d’achat est de 500 000 $ ou moins;
  • 5% pour la 1re tranche de 500 000$ et 10% pour le restant, si le prix d’achat se situe entre 500 000 $ et 999 999 $;
  • 20%, si le prix d’achat est d’un million de dollars et plus.

Qu’est-ce qui arrive si vous verser seulement la mise de fonds minimum?

Verser seulement la mise de fonds minimum prévue par la loi n’est pas toujours une bonne idée. En effet, si votre mise de fonds est inférieure à 20%, vous devrez obligatoirement souscrire à une assurance prêt hypothécaire. Il s’agit d’une protection pour le prêteur (la banque ou l’institution financière) en cas de défaut de paiement du propriétaire.

La prime varie actuellement entre 0,60 % et 4,50 % du montant de l’hypothèque et est inversement proportionnelle au montant versé en mise de fonds. Ainsi, plus cette dernière se rapproche du 20 %, moins la prime est élevée.

Il est possible d’ajouter le montant de la prime au montant du prêt hypothécaire — mais le taux d’intérêt en vigueur s’appliquera également pour cet ajout — ou de la payer en un seul versement. De plus, au Québec et dans quelques autres provinces, la taxe de vente provinciale s’applique sur la prime d’assurance prêt hypothécaire et ne peut pas être ajoutée au prêt hypothécaire.

Il est important de calculer tous ces frais additionnels dans le cout réel de votre acquisition.

Visez la mise de fonds maximale que vous pouvez vous permettre.

Dans un monde idéal, vous devriez verser une mise de fonds minimale de 20 % du prix d’achat de la propriété, et plus si vous le pouvez. Vous n’aurez pas à payer la prime d’assurance prêt hypothécaire, sans compter que vous économiserez des sommes importantes en frais d’intérêt au fil des ans.

Bien qu’il existe plusieurs façons d’amasser une mise de fonds, chaque situation est unique. Ainsi, l’idéal est de consulter un courtier hypothécaire. Il sera en mesure d’évaluer votre situation et de faire les calculs appropriés pour trouver la solution qui convient le mieux à votre profil.

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